EDEN the game
EDEN the game
Présentation d'un petit jeu sympathique, qui se situe dans un monde post-apocalyptique : Eden.
En quelques mots, Eden c'est peu de figurines nécessaires (3 à 6 pour Eden en fonction de leur budget), petit espace de jeu (60x60 cm pour Eden !), règles simples (une trentaine de pages), pour chaque figurine, toutes les informations nécessaires regroupées sur une carte, figurines superbes.
A l'origine, le thème post-apocalyptique n'est pas ma tasse de thé, mais le système de jeu, la simplicité, le temps limité des parties et la qualité des figurines m'avais fait basculer, à l'époque.
Et voici mon gang de Jokers : Vladd (avec son lance-flamme), Yuri et son cocktail motolov, Anton avec son panneau et Elenia la lanceuse de couteaux, Ievgeni, Leonid avec ses boules de phosphore et Nikolaï avec son lance-flammes.
L'originalité du système repose avant tout sur la localisation des blessures.
Chaque figurine peut réaliser 3 actions (elle dispose de 3 points d'actions ou PA) dans le tour (par exemple : se déplacer deux fois et combattre ; se déplacer, tirer, se déplacer, etc...). Comme pour GB, c'est donc le nombre de réussites qui comptent. Pour combattre, le joueur lance un nombre de dé égaux à sa vigueur (ici, 4 pour Yuri, chiffre blanc en haut à droite, au dessous du symbole bras) et le seuil à atteindre est le niveau de vigueur de l'ennemi (ici 4 pour Yuri, le chiffre en bas à gauche, au dessous du symbole torse). L'attaquant jette un dé en plus pour la localisation du coup (tête, bras, torse ou jambes). Les réussites non esquivées (la cible peut en effet tenter de réagir si il lui reste des PA) et auxquelles on a retranché le niveau de protection (comme à GB) forment les blessures. Mais l'attaquant peut aussi réduire se nombre de blessures pour relocaliser le coup porté dans une autre partie du corps. Bref, système vraiment très intéressant et original.
Le nombre de blessures est ensuite coché sur la carte. Une fois que tous les ronds blancs sont cochés sur une partie du corps, on utilise alors le chiffre en rouge pour combattre, se défendre, esquiver, etc... Si une partie du corps, n'importe laquelle, voit ses points réduits à zéro, alors le personnage devient hors de combat.
Les personnages peuvent avoir des capacités spéciales, et le joueur à en main des cartes tactiques qui permettent d'influer sur les combats, sur l'environnement ou sur la réalisation de la mission. Le système de choix des missions est aussi très intéressant.
Atout supplémentaire : il s'agit d'un jeu français, et en français !
Pour terminer, un petit mot sur les factions... Certaines factions sont classiques : le Convoi (bande de survivants classique), les Anges de Dante (des motards), le Matriarcat (des femmes avec des hommes-esclaves) ou encore la Résistance (bande de bricoleurs avec des membres cybernétiques et quelques robots), sans compter les Jokers (directement inspirés de Batman). S'y ajoutent trois factions de mutants : les Bamakas (mutants africains subsahariens), les Askaris (mutants de type arabe avec nombreux monstres) et la Horde (bandes de dégénérés type zombis, ou maitres sauvages avec ses Lycals et ses loups, ou encore les profonds, sous catégorie de la Horde directement inspirée de Lovecraft...). Enfin, les ISC sont des robots japonisants et les Nephilim sont une peuplade extra-terrestre qui a débarqué. Bref, chacun devrait pouvoir y trouver son bonheur !
Quelques vidéos YouTube sur le sujet :
En quelques mots, Eden c'est peu de figurines nécessaires (3 à 6 pour Eden en fonction de leur budget), petit espace de jeu (60x60 cm pour Eden !), règles simples (une trentaine de pages), pour chaque figurine, toutes les informations nécessaires regroupées sur une carte, figurines superbes.
A l'origine, le thème post-apocalyptique n'est pas ma tasse de thé, mais le système de jeu, la simplicité, le temps limité des parties et la qualité des figurines m'avais fait basculer, à l'époque.
Et voici mon gang de Jokers : Vladd (avec son lance-flamme), Yuri et son cocktail motolov, Anton avec son panneau et Elenia la lanceuse de couteaux, Ievgeni, Leonid avec ses boules de phosphore et Nikolaï avec son lance-flammes.
L'originalité du système repose avant tout sur la localisation des blessures.
Chaque figurine peut réaliser 3 actions (elle dispose de 3 points d'actions ou PA) dans le tour (par exemple : se déplacer deux fois et combattre ; se déplacer, tirer, se déplacer, etc...). Comme pour GB, c'est donc le nombre de réussites qui comptent. Pour combattre, le joueur lance un nombre de dé égaux à sa vigueur (ici, 4 pour Yuri, chiffre blanc en haut à droite, au dessous du symbole bras) et le seuil à atteindre est le niveau de vigueur de l'ennemi (ici 4 pour Yuri, le chiffre en bas à gauche, au dessous du symbole torse). L'attaquant jette un dé en plus pour la localisation du coup (tête, bras, torse ou jambes). Les réussites non esquivées (la cible peut en effet tenter de réagir si il lui reste des PA) et auxquelles on a retranché le niveau de protection (comme à GB) forment les blessures. Mais l'attaquant peut aussi réduire se nombre de blessures pour relocaliser le coup porté dans une autre partie du corps. Bref, système vraiment très intéressant et original.
Le nombre de blessures est ensuite coché sur la carte. Une fois que tous les ronds blancs sont cochés sur une partie du corps, on utilise alors le chiffre en rouge pour combattre, se défendre, esquiver, etc... Si une partie du corps, n'importe laquelle, voit ses points réduits à zéro, alors le personnage devient hors de combat.
Les personnages peuvent avoir des capacités spéciales, et le joueur à en main des cartes tactiques qui permettent d'influer sur les combats, sur l'environnement ou sur la réalisation de la mission. Le système de choix des missions est aussi très intéressant.
Atout supplémentaire : il s'agit d'un jeu français, et en français !
Pour terminer, un petit mot sur les factions... Certaines factions sont classiques : le Convoi (bande de survivants classique), les Anges de Dante (des motards), le Matriarcat (des femmes avec des hommes-esclaves) ou encore la Résistance (bande de bricoleurs avec des membres cybernétiques et quelques robots), sans compter les Jokers (directement inspirés de Batman). S'y ajoutent trois factions de mutants : les Bamakas (mutants africains subsahariens), les Askaris (mutants de type arabe avec nombreux monstres) et la Horde (bandes de dégénérés type zombis, ou maitres sauvages avec ses Lycals et ses loups, ou encore les profonds, sous catégorie de la Horde directement inspirée de Lovecraft...). Enfin, les ISC sont des robots japonisants et les Nephilim sont une peuplade extra-terrestre qui a débarqué. Bref, chacun devrait pouvoir y trouver son bonheur !
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